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Rose Cigarettes

18 septembre 2008

Une journée

putain de journée de OUF



        Quelle journée de tarée ! Pourtant, tout a mal commencé et plutôt mal terminé, ou presque.

    Retard à 8 heures, 1 heure de pause inutile, cours d'anglais. A midi direction Pizza Hut (si si la Famille). J'offre ma tournée de pizzas, 5 pizzas pour 6 personnes. Marie abandonne, ensuite Sarah. Il reste encore 4 pizzas et nous sommes 4. Je ne sais toujours pas comment nous avons fais pour tout engloutir, plus d'une pizza par personne.
    Les cours reprennent, cool. Mais l'heure la plus redoutée et la moins voulue au monde arrive. Physique-Chimie. Après de petites embrouilles avec la professeur, là ça pète ! "Je veux voir ta mère." "Mais elle travaille. Et tard.". Obligée de répéter 100 fois parce que bouche-à-bite ne comprend rien. C'est trop. Ton insolent ou presque, rires en la regardant. Ah, que je l'ai fais chier.
    Enfin, bref.

récit d'un jeudi comme les autres. 8h-18h. Si !




une certaine personne en pensée.





" tu dors chez moi samedi soir ?"

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14 septembre 2008

Année 2008-2009

une nouvelle année qui commence ..



    Tout commença bien. Le lycée voulu : Racine, un copain : A., ma meilleure dans ma classe : Marie .. et de nouvelles potes : Jeanne, Sarah et bien sûr Lola.
La première semaine tout se déroula bien, tranquille. Sans problème ..




Fin de la deuxième semaine, et tout part en cacahuète, ou ce n'est que moi.




Où en suis-je ! Cette question, qui n'en ai pas une, t'en répéter ..
Quoi écrire ..

Je repense à ce gars, dont j'ai tant parlé, mais pas écris. Je dois le voir, merde ! Par fierté, par principes.

[Comme un soudain parfum d'hortensia ... mais l'hortensia n'a pas d'odeur .. ]




Cassons ces règles, ces conventions, et BAISONS !



24 août 2008

... en pause intérieur

Oh !






  C'est bon. J'ai tout compris. Je suis en rupture avec une partie de mon moi intérieur. A cause de lui, de cet homme étrange, qui a été et est toujours le seul à ce jour à pouvoir me désthabiliser. Pourquoi, je n'en ai pas la réponse.





Je ne sais plus, je ne sais rien.





sur la touche


3 août 2008

De nouveau HEUREUSE !

Pourquoi raconter sa vie, si ce n'est que le récit d'heureuses aventures .. ?! Tout est bien, ou presque. Je ne m'y attendais pas, pendant ce séjour à Tricqueville en compagnie de la Belle Marie. Elle m'y avait inventé sur un coup de tête, sans trop réfléchir au fait qu'on serait 24h sur 24 ensemble, pendant 5 jours !! Arrivées chez ses grand-parents, en pleine nature, au milieu de champs et de la forêt, vaches et chevaux. Marche à pied le premier jour, juste pour s'éloigner le plus de la maison et dire bonour aux chevaux, en se faisant accueillir joyeusement par 3 chiens; et s'enfoncer dans le silence, pour fumer une clope. La nuit arrive à grands pas, alors que nous nous endormons devant Gad Elmaleh. Deuxième jour, à vélo jusqu'à la rivière, encore pour fumer une clope. On revient, à bout de souffle, près de l'arrêt cardiaque. Pentes, descentes, etc. Première soirée où l'on tient sans s'endormir comme des loques. Cigarette a bec, fenêtre ouverte sur l'obscurité pleine et pure. Une légère peur nous prend, nous ne sommes pas habituées à temps d'obscurité d'un coup, même nos yeux ne s'y habituent pas. Troisième jour, l'on part marcher encore, pour fumer quelques cigarettes et pour attendre l'arrivée de ses cousins. Au deuxième tour du champ leur voiture nous croise. Marie la Blonde et Didem la Brune arrivent 15 minutes après. Bonjour à sa tante, à son oncle, au cousin Jules le Bébé, au cousin Pierre qui a en faites 14 ans, et pour terminer au cousin Jean-Baptiste de notre âge. Papotages et blablatages autour de la balançoire, je m'adapte vite (je suis très sociable). On déjeune et on pars se balader, dans la forêt. Jeux, papotages encore, etc. Puis football pour les garçons et un dérivé du tennis pour les filles (nous ne sommes que 2). Et là, c'est le BUG cérébral. Je ramasse le volant, et je vois Jean-Baptiste au loin légèrement flou, torse nu. Ouais je l'avais remarqué avant aussi mais là c'est sûr qu'il me plaît. Marie me regarde et regarde la direction où mes yeux sont restés fixés. Elle rigole. Je nie tout, tout et tout encore. J'ai dû rougir aussi, j'en suis sûre; Ce ne m'était jamais arrivée. Des regards, on se tourne autour comme ça. Encore et toujours des regards mais de plus en plus persistants. Le soir arrive. Entre temps le Papa de Marie a découvert qu'elle fumer et je n'ose plus le regarder dans les yeux. Et puis une ballade dans le champs de maïs et dans le champs de blé. Jeu dans le jardin en pleine obscurité, encore. L'heure d'aller se coucher pour les vieux arrivent, nous descendons donc dans la cave, dans ce qui sert de chambre à Jean-Baptiste. Jeu de cartes. A 1h du mat' le petit frère de Marie montent se coucher, à 4h montent Pierre et Marie (qui ne voulait pas nous laisser tout seul). Nous voilà donc tout les 2, enfin. L'un en face de l'autre, jeu de cartes, encore des regards très persistants. Même trop. J'aurais pu l'embrasser sur le coup, mais je n'osais pas. 45 minutes plus tard on sors fumer. J'ai froid sous la couverture, je n'ose pas l'inviter à me rejoindre. Et, par surprise, Marie débarque. On retourne dans la chambre, jeux de cartes. Mai je n'en ai plus l'envie, j'évite ces regards. Je monte donc dans la chambre avec Marie, il est 6h. On s'allonge, et je pense que j'ai oublié mon I-pod en bas, dans sa chambre. C'est un signe. J'en profite donc pour descendre Hésitation devant la porte, je rentre froide, sans un regard. Bonne nuit, bise sur une joue, et puis l'autre .. et on dérive sur les lèvres de l'autre. Je remonte, sans le vouloir, plus heureuse que jamais. Le lendemain matin, je me lève à 9h. La maison est vide. Je descend à 9h30 dans sa chambre, sous prétexte d'aller prendre une douche. Il est réveillé. Je n'ose pas l'embrasser, je m'assois sur le lit, à côté de lui torse nu, et commence un solitaire. On s'embrasse. Encore, encore. La maison commence à se réveiller. Je devrait déjà être sortie de la douche mais je suis encore dans ses bras. On arrive à se rejoindre en secret : quand Marie est sous la douche, quand il n'y a personne dans une pièce, etc. Amour, amour quand tu nous tient. Enfin, la fin de journée approche, l'heure du départ. J'en ai les larmes aux yeux. On se réfugie une dernière fois, à l'abri des regards dans le fond du jardin. 5 minutes, puis 10 .. on va se faire prendre. On revient comme si de rien n'était. Les regards sont persistants, mais j'essaye de les éviter, ils sont tristes. Je monte dans la voiture, près de Marie. J'essaye de ne pas le regarder, trop tard. J'ai croisé son regard et je ne peux plus le quitter. Marie me regarde, le regarde, et voit nos regards liés. C'est bon, on est pris, elle le sait. Depuis Marie a appris pour notre relation, elle est heureuse. De mon côté je suis Amoureuse, mais folle amoureuse. Et pas de cet amour vite fait, qui dure que quelques jours ou quelques semaines au maximum. Le Coup de Foudre m'a frappé,et lui aussi. (quelle expression gneu-gneu). Enfin. Je l'aime, mais j'ai peur de commettre une erreur, de ne pas assumer la responsabilité de ne pas décevoir un être qui met cher. Tant de questions. On a trouvé une réponse : P R O F I T E R ! Voilà. Un long récit, enfantin à la fin. Je l'écrit pour moi, et puis pour toi, mon cher Jean-Baptiste. Je suis heureuse, enfin je n'arrive pas à décrire ce que je ressens, il n'y a pas de mot. Ce n'est que le début. Et loin d'être la fin. Je t'aime, et même cette expression a perdu de sa valeur. Prends-e le sens le plus profond, véritable. Tu le sais, au fond de toi. Oh, Babe. Je t'aime. (j'ai honte! je rougis!)
1 mai 2008

c'est décidé .. elle n'est plus dupe !

                  Marre d'être la gentille fille-toujours-serviable et si généreuse ! Putain, ce que ma tante-cousine peut-être si égoïste, bien qu'elle ne l'était pas avant. Pourquoi ce changement de comportement venant de sa part ?! Juste parce que je suis rentrée de soirée complètement torchée ?! Merde ! Pourtant, l'excuse c'est que Maman lui ferait des problèmes .. mon Cul, elle s'en contre-fout ! Alors que
j'avais confiance en ma si gentille tantine
.. Foutage de Gueule !

                Après un magnifique pètage de plombs, une savoureuse clope, un message envoyé, une arrivée chez le poto, me voilà à écrire toute ma Vie ! Merde ! Tantine m'énerve ! J'ai fais tant pour elle et ele a fait tant pour moi .. Elle ne fais plus rien et je ne fais plus rien !


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fini la gentille D* si Adorable et Serviable !

Elle peut se lècher le Cul !






pète ton câble !
Dieu ne me vois pas,
il y a trop de nuage,
mais il m'entend, tellement je gueule fort .











Let's get the Party started right !





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27 avril 2008

Elle .. cette fille .

Elle . Cette fille au carré brun telle une pute-à-frange ..



                
Elle est en sa compagnie depuis environ 3 semaines-1mois .. mais ce n'est pas pour autant qu'elle s'est préservée. Pourtant elle n'est pas de ce naturel, habituellement elle n'en a qu'un seul à la fois .. mais lorsqu'elle décide de s'amuser, sans son copain, c'est juste parce que sa réelle relation est branlante, défaillante, sur le point de se terminer .. qui c'est ?!


                La boucle est bouclée : elle l'a trompé avec lui. Et maintenant changement de situation. Elle trompe le mec avec qui elle l'avait trompé avec le mec qu'elle avait trompé, (tu me suis ?!). Que cette histoire est drôle, amusante .. déprimante.


                   Son gars actuel est un Salaud. Il lui est inutile et ne lui fais que du mal. Elle n'est que son plan sous-marin. La pauvre. Pourtant inconsciemment elle en est consciente. La pauvre. Elle pleurait au début, aujourd'hui elle a compris qu'il n'en valait pas la peine, pas lui. Alors elle a décidé de s'amuser en allant voir ailleurs. Que demander de plus ! Elle a ce qu'elle désire. Mais au fond, ça lui fais du mal de devoir se mettre bien autre part que dans les bras de son copain. Elle y est bien. Mais lui s'en contre-fout. Plus de possibilité. Elle doit lui parler, mais ni arrive plus. Elle se doit de lui parler. Attendons la reprise des cours. Le Salaud.


                   Elle le manipule. Celui qui l'a fais changé. Grâce à lui elle a ar
rêté les extrêmes. Enfin tout est fini et elle le sait bien. Elle n'est pas contre. Elle est passé au-dessus de cela depuis bien longtemps. Elle a juste voulu s'amuser à cette soirée où il l'avait invité. La Pauvre. Elle a ce qu'elle désire mais pas jusqu'au bout. Elle fais un pas mais il ne fais pas le second. Certes, restons-en ici. Réfléchis.


                Un jour, tout sera fini. Mais avant de plaquer son gars actuel elle doit lui parler et en trouver un autre. Ce qui ne s'avère peut-être pas si difficile que ça. Mais bon, elle n'est pas, non plus, une Tass-Pé. La Pauvre.







On l'aime . Elle déteste .





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22 avril 2008

. Fais des tests . !

Fais des tests, ça remonte le moral, en compagnie d'une bouteille de Rosé.


L'infidélité et vous…

Pour quitter

Vous envisagez l'infidélité comme l'opportunité d'avoir un espace "hors temps", dans lequel vous retrouver et faire le point sur vos désirs. En effet, vous attendriez d'un(e) amant(e) une grande capacité de compréhension, de douceur et d'écoute. Une sorte de havre de paix dans lequel vous pourriez vous ressourcer un peu.

Cela suppose donc que votre relation principale est peut-être défaillante, et que vous n'y trouvez plus la joie et l'amour que vous recherchez. Face à ce constat d'échec, vous ressentez le besoin de prendre du recul mais, en recréant ailleurs un lien sécurisé, le temps de votre incertitude. Pour affronter les choix qui s'imposent, vous avez en effet tendance à rechercher l'appui d'une personne bienveillante à votre égard.


Savez-vous exprimer vos sentiments ?

Léger manque de contrôle…

Votre spontanéité vous honore. Lorsque vous éprouvez des sentiments forts, vous ne cherchez pas à les faire taire. Au contraire. Votre enthousiasme, votre optimisme sont même communicatifs. Comme si vous aviez envie de partager les émotions que vous ressentez.



Par exemple, lorsque vous aimez, tout le monde le sait, tout le monde le voit. Cela transparaît même si vous ne l'exprimez pas avec des mots. Mais parfois, cela vous gêne un peu. Vous préféreriez pouvoir cacher un peu mieux vos émotions. Vous vous sentez comme submergé (e) par elles, sans défense, avec l'impression d'être mis (e) à nu parce que vous ne pouvez pas les passer sous silence. Un peu comme si votre sincérité vous trahissait. C'est le propre des émotions. Quand elles sont puissantes, elles sont en général incontrôlables. Cependant, si vous souhaitez acquérir une meilleure maîtrise de vous-même, le yoga, la sophrologie ou les arts martiaux pourraient s'avérer une aide très efficace.


Calculez votre quotient séduction

Votre séduction est efficace.

Séduire est une chose qui vous plait, même lorsque vous n’en avez ni vraiment envie, ni vraiment besoin. C’est une sorte d’hygiène de vie pour vous ! Pourtant, ce n’est pas spécialement le signe d’une manipulation de l’autre, mais plutôt d’un intérêt profond. Vous avez envie de plaire à vos semblables parce que vous êtes sociable, ouvert aux autres, que vous avez envie d’échanger, d’entrer en relation. Vous êtes donc quelqu’un qui donne envie d’être mieux connu, quelqu’un qui attire. Que cela soit votre nature profonde ou le fruit d’une volonté importe peu, le résultat est là.
Attention cependant à ne pas trop dépendre de l’opinion des autres, de ne pas trop vivre à travers eux, mais de garder un esprit de décision personnel, des goûts bien à vous. Comme vous êtes relativement perméable aux autres, vous avez aussi besoin d’une force intérieure et d’une confiance en vous pour garder votre cap sans que l’on vous en fasse dévier.


22 avril 2008

Encore, Un BORDEL ! Je m'aime ..



God is Love

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelques lignes de 2 jours épanouissants .

 

 

 

 

 Pourquoi tout se passe si mal ? Pourquoi tout est si étrange ? Pourquoi nous ne sommes pas normal ? Pourquoi ne pouvons nous pas être comme les autres ? Pourquoi tout est un Bordel .

On était si beaux. Depuis le début, on ne nous voyait pas, personne ne savait. Et puis, un jour une personne a su et le monde entier a été au courant. Tu l'as trompé avec moi. On ne s'est plus vu pendant quelques temps, histoire que tout se tasse. Et puis, un jour, un coup de téléphone, un e-mail, ou un sms, et puis on a recomençait à se fréquenter, chez toi. Toutjours, toujours, constamment chez toi. On n'est jamais sorti de chez toi. Mais je gardais espoir, que tout change un jour. 1 an, oh oui, 1 an est passé, déjà. Pendant 1 an, on s'est vu chez toi, je venais t'embrasser, te câliner, enlever mon tee-shirt de temps à autre .. je venais nous distraire et oubliais un manque pour quelques heures. Et puis ce fût à tour de tromper mon homme, avec toi. La boucle fût bouclé. On ne se voyait plus, je croyais t'avoir oublié.

Un soir, par pur hasard. Une soirée très même trop arrosée, et je t'appelle. Je ne sais pas pourquoi je t'ai appelé, c'était peut-être mon inconscient. Cette soirée, cet instant fût le meilleur depuis le début. Après tout se temps nous voilà "ensemble". Merde ! Je croyais que tout aurait pu bien se passer, on se ressemble.

 

J'ai fais tellement d'effort et tu ne t'en rends même pas compte. Cette nuit où j'aurais pu rester dehors pour te voir, mon billet d'avoin annulé pour te voir, les cours que j'ai séché pour te voir .. et tu ne t'en rends même pas compte. Tout cela me fais mal. Je suis bien, que lorsque je suis dans tes bras, en dehors ce n'est que le contraire.

Oui, je me pose trop de questions, je doute trop .. je suis paranoïaque et folle. Que cela est "relou". Je n'arrive même plus à te parler. Comprend que je ne suis ces autres. Merde ! Tout aurait pu être si bien. 3 semaines d'insistance, de peur parfumée de quelques heures dans tes bras, un léger bonheur. Merde ! Je m'emporte, ne lis pas ce que j'ai écris. Qu'est ce que je dois faire, j'ai l'impression que je ne suis rien, que tout cela est secret (encore), que tout cela reste entres nous. Pourquoi tout est un Bordel .

 

 21.04.2008

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La vie serait-elle une continualité de malheurs parsemé de quelques purs instants de bonheur superficiel. Doit-on attendre le Paradis pour connaître un pur bonheur. La mort serait-elle l'issue à ce Bordel.

Dépression. Tout est si bien la famille, les amis et puis les amours.. Mais ce petit truc, une petite chose me fait dériver. Je perds mes bases, mes bonnes résolutions et je recommence un Bordel. Mais ce Bordel me plaît. Je suis consciente de tout ce que je fais, que je me nuis, auto-destruction. Rien, nan rien ne changera. J'irais aux Alcooliques Anonymes dans 1 mois et je continuerais à boire d'ici là.

Je suis folle. Je perds complètement la tête. Paris m'ennivre. Je m'enfonce dans un cercle vicieux. Je me plaît dans cette situation de totale déchéance. J'assume le fait d'être ce que je suis devenue. Je m'aime, je m'aime. Je le déteste, je les déteste. Je suis CRAZY ! Plus rien ne va, plus rien n'est cohérant.

L'on me dit de ceux qui s'inventent ou qui jouent.
Je n'invente que mon bonheur, et je joue avec ma vie.
Ce qu'il en reste.

Un jour, oh oui. Un jour tout cessera. Mais le temps n'est pas encore venu. Alors pourquoi suis-je si malheureuse. Pourquoi n'ai-je plus le sourire. Profiter c'est ce que je me dois de faire. Alors vivre dans une mort qui m'entoure. Je ne serais pas vieille, je ne tiendrais pas. La mort serait-elle l'issue à ce Bordel.

Je ne suis point suicidaire. Juste pessimsite.

 

Je m'aime, je les déteste.
Je suis CRAZY !
Rêver de ce Bordel.
Vivre ce Bordel.
Aimer ce Bordel.

...

22.04.2008

 

 


 

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toutes mes haines s'envolent lorsque je te retrouve .

je voudrais pouvoir te crier dessus, t'en vouloir ..
mais je ne peux ..
pourquoi n'en parles tu pas aux autres, pourquoi l'on n'en parle à personne .
cela est-il purement secret, plan sous-marin .
quand comprend as-tu que je ne suis pas ces autres ..

un an, déjà un an ..

pauvre de nous .


je bois trop .

serait-ce pour tout oublier .
mettons-nous tout nu et donne-moi un tee-shirt long.

douche chaude .

 

j'écris un scénario, mais tu ne joues pas comme je le voudrais .
je change le scénario et tu continues à mal jouer .

je tourne et tout à l'air de s'arranger .

 

la vie est un film .

 

 

j'arrête tout .

tu ne me suis plus et j'arrête de courir .
la cigarette me détruit les poumons et je n'ai plus de souffle pour te suivre .
notre histoire aurait pu si bien continuer .
serais-ce par peur de tout faire rater .
ou simplement en n'as-tu rien à foutre de moi ..
pourtant pls le temps passe, plus tout se passe mieux .
cela sera-t-il, un minimum durable .
on se quitte dans 1 semaine .. .
putain ! Bordel !

tristesse personnelle .

 

 

 

cette chanson, c'est notre histoire .
elle commence doucement, comme la routine .
et puis, un léger air nouveau .
mais le fond sonore, c'est notre routine .
une montée, comme un espoir .
mais l'air de routine revient .
et ça se fini bêtement, sans réelle fin .

( comptine d'un autre été : l'après-midi )

 

 

 

 

dream
hate
love
death .. life

fuck'


20 avril 2008

La nuit du 19 avril au 20 avril .

Que cette nuit fût un énorme Bordel !







          Se retrouver à 3 heures du mat', presque toute seule, heureusement que l'on peut compter sur certaines personnes. L'aiguille tourne, et plus les minutes passent plus je sens la solitude m'envahir.
           Est-ce que Dieu m'aimerait ?! Dieu me fait retrouver par un merveilleux hasard ce pote, ce fameux pote. Plus de galère, il nous reste toute la nuit ..

           Soirée finie, la nuit commence. Il m'emmène chez un drogué, où au moins l'on est au chaud et loin de tous ces bourrés des rues de Paris. On boit, encore .. on fume, encore .. on danse, encore ! 5h du mat' décision, on y va. Les bulles qui montent, les cheveux dans le vent, en fond sonore le moteur du scoot'. Tour de Paris en scoot', bouteille dans la main et l'autre qui le tient. Que cette soirée est bien.


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          Et ce salaud qui m'appelle à 7 heures du mat' : " Ouais, appelle-moi .. tu peux venir " ! Quelle connerie ce gars ! Et puis moi qui avait tout prévu pour notre soirée. C'est mort ! (je me ferais frapper sinon) .


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11 h du mat', il est l'heure de se lever, et de se faire accompagner chez soi. Douche chaude, café chaud.




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et je retrouve bientôt le Beau et Froid Paris .



          

13 avril 2008

.. BORDEL .. !

Putain de Bordel !!

       Merde ! Disons que je pète un câble .. et puis merde ! Que faire, que dire. Je ne sais même plus quoi écrire !

          Lui, m'énerve, il ne comprend pas que je ne suis pas comme les autres filles, qu'il peut me parler franchement, que je réagis comme un mec. Je suis un mec ! Merde, encore !

Boire, Boire et encore Boire !

         J'ai pèté un câble parce que je n'avais plus de clopes ! Putain, j'en avais besoin ! Heureusement que les amis sont là ! J'aurais pu tuer pour une foutue clope, merde quoi !

Champagne, Vodka et foutue clopes !

          Ce texte est un Bordel, un putain de Bordel de merde !

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merci, je vous aime et je m'aime .
et lui, je le déteste . (tromperie !)

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